La pluie frappée par le vent
Donne une impression de tourment
Dans la pénombre j'entends
La colère de l'hiver
Clément depuis trop longtemps,
Si furieux,
De laisser sa place au printemps.
Mais nous,
A attendre le beau temps.
Notre choix est fait depuis longtemps
Nous préférons les ballades au bord de l’étang,
Nos petites robes légères
Et les soupirs de nos amants.
Ah! mais le duel cesse un instant,
Il ne reste plus que le vent
Qui se croit tout puissant.
Le combat cesse,
Faute de combattants...
Vite, allez vite car le soleil attend....
...et moi aussi c'est évident....
MARIE ANGE MURCIA
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