Il faut que la terre en soit pleine
de ce désamour de cette haine
de ces luttes incertaines
pour que la guerre soit notre affaire
et que l'amour ne soit plus rien à faire.
A chaque pas quand je te vois
c'est un volcan qui monte en moi.
Dans cent ans de là
que restera t il de toi
déjà ici bas tu es si bas
avec tes idéaux penses tu grimper la haut,
dans un ciel qui en vaille la peine.
Ici, sur terre tu déblatères.
Ici, sur terre tu exagères.
la guerre tu en as fait ton affaire
ton amour devient ordinaire
et ta bannière se passe de commentaires.
MARIE ANGE MURCIA
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