Tout me parle de toi
ma mémoire, mes dix doigts.
De toi je n'ai rien de toi
juste pour espérer,
deux ou trois couplets,
quelques virtualités.
Nos mondes parallèles
n'ont rien d’irréels
ils nous accordent juste
deux ou trois pairs d'ailes
pour franchir les tropiques
plus haut dans le ciel.
Et, je, oui je,
me heurte à ton mur
parfois à ton armure,
brûle ma peau
au feu... feu follet.. de tes mots,
je dois dire, bien trop beaux.
MARIE ANGE MURCIA
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