Dards et poignards rendent bagnards.
Je reste à l’état sauvage.

Ici se trace,
d'une ligne fugace
avec un peu d'audace,
mon territoire dans l'espace.
Place prenez place,
vous, oui vous, là,
jamais ne m'en lasse,
qui m'embrasse, qui m'enlace...
Mais de vous, hélas,
la moindre trace m'agace.
qui m’écœure, qui m’écœure....
Toujours à l’état sauvage,
de rages, d'orages,
se glissent entre miroirs et images
fissures, blessures
et tonnes de bavures .....
MARIE ANGE MURCIA
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