Ni deux ni trois,
seulement toi,
comme un soldat
qui veille sur moi, de loin,
pas plus d'un mètre je crois.
Nos corps sans se toucher,
nos mains sans se frôler
et cette folie qui ôte toute envie.
Les comptes et les décomptes,
nous en racontent...
serons nous du nombre?
de cette hécatombe?
La terre, un immense cimetière.
Ni deux ni trois,
seulement toi,
en urgence, en désarrois,
comme moi .....
MARIE ANGE MURCIA
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