Du fond de mes entrailles,
ou que j'aille, je pense à toi.
Dans cette immense pagaille
vaille que vaille,
je vais je viens je travaille.
Si je ferme un instant les yeux,
ce sont des retrouvailles
de fantômes, d’épouvantails..
Alors pardonne moi il faut que je m'en aille.
Ni épousailles, ni funérailles.
Je tourne les talons,
en feu de paille,
je brûle je brûle, regarde moi brûler,
m’évanouir, me décomposer
je passe, je suis passée.
Je bataille,
je suis en fin de baille....
MARIE ANGE MURCIA
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
vous qui lisez laissez ici vos réflexions, impressions, idées, ville, pays, planete ou un simple sourire .....