autant que tu t’épanches,
à l’écoute du moindre de tes doutes,
tu danses, tu déchantes,
pour des ardeurs, des rancoeurs,
tu dévisages la laideur.
Et tu n’écoutes plus que ton cœur,
il bat, comme on bat la campagne,
à la recherche du bonheur.
Et je t’écoute,
et je n'ai plus aucun doute,
tu marches sur ta route comme une déroute.
Et je te vois
et je ne regarde plus que toi,
tu es face à moi
dans un monde,
qui n'appartient qu'à moi.
j'ai entendu dire,
que tu étais des pires.
Mais regarde un peu,
la vie et ses heureux,
il s'en fallu de peu
que tu ne sois l'un d'entre eux,
toi et moi, à chaque fois,
on ne sais pas jouer à ce jeu là.
toi et moi, à chaque fois,
on ne sais pas jouer à ce jeu là.
Mais quel est donc ce sort
qui nous rate et nous endort,
sans abris, sans confort,
accablant nos corps de tant d'efforts,
sans trésor,
sans montagne d'or,
sans la moindre miette de réconfort.
MARIE ANGE MURCIA
qui nous rate et nous endort,
sans abris, sans confort,
accablant nos corps de tant d'efforts,
sans trésor,
sans montagne d'or,
sans la moindre miette de réconfort.
MARIE ANGE MURCIA