Tous ces mots
qui alimentent ma peau,
cette folie qui se nourrit de ma vie,
ce drainage incessant de mes amours sans nom,
ne sont rien face à ces instants
qui tricotent mes ponts.
Entre les bras d'un survivant,
à travers son regard
ou dans l'odeur de son veston
je respire enfin sans caisson.
J'aime son parfum,
ses histoires de gamin
et tous les gestes de ses mains.
Ses mille et un doutes de tout ce qu'il redoute,
ses bises ses bêtises et meme ses friandises.
Trop fragile voire si gracile,
attention homme sensible
sous ses airs d'adolescent.
MARIE ANGE MURCIA
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