j'ai pu écrire tant et tant
de ce que j'avais en dedans
sans penser un seul instant
je gardais pourtant sous mon oreiller,
des vers et des versets
à pleurer à aimer à chanter,
à l’arrêt comme au secret
à l'abri des regards indiscrets.
renversés ils se sont échappés
et plus un seul pour me consoler.
que peut-on conter
sans fées ni preux chevalier,
quelques histoires illusoires
quelques histoires dérisoires
rien, trois fois rien, rien de rien,
enfin je veux dire, rien de bien.....
que peut-on conter
sans fées ni preux chevalier,
quelques histoires illusoires
quelques histoires dérisoires
rien, trois fois rien, rien de rien,
enfin je veux dire, rien de bien.....
MARIE ANGE MURCIA
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